La branche française de IKEA, à savoir, son leadership est soupçonné de faits illégal recueillir sur les clients et l'information des employés. Charges déjà présentées au directeur exécutif du réseau - Stefan Vanoverbeke, qui a dirigé la représentation en 2010 année, ainsi que l'ex-gérant de la société - Jean-Louis Bayo. Selon l'agence de nouvelles AFP, le ministère public traite les revendications comme une «violation du secret professionnel» et «collecte de données personnelles." Par ailleurs, déjà mis en accusation contre la société IKEA en tant qu'entité juridique. D'autres accusations ont été portées contre l'ancien chef du service Sécurité branche de l'organisation dans la région du Vaucluse (Sud de la France).
Les origines du scandale origine en France au printemps de l'année 2012. Ensuite, les médias a été informé de la conclusion de l'accord entre IKEA et la société privée sous le nom de "internationale Surete". En fait, pour une certaine compensation monétaire la société était un dossier sur un individu. Vraisemblablement, la raison pourrait être, par exemple, le casier judiciaire d'un nouvel employé, la nécessité d'examiner le dossier de l'emploi ou des informations sur la situation financière des acheteurs, en quelque sorte en conflit avec IKEA.
Lorsque les employés du réseau étaient méfiants, ils ont immédiatement déposé une plainte contre la direction de l'entreprise. Toutefois, le représentant du groupe d'initiative Salvatore Rinaldo dit que, bien qu'il y avait des soupçons, mais la preuve était pas certain. Ensuite, ils ont décidé de donner des informations extraordinaires aux autorités compétentes. Et ne pas faire une erreur. Au cours de l'enquête, le bureau du procureur France en fait je trouvé des traces d'activités illégales sur la collecte de données personnelles, qui existe depuis plusieurs années - avec 2003 jusqu'à maintenant. L'information est venu par des personnes de confiance de la base fermée du Ministère des affaires intérieures de la France, qui est encore connu sous le nom "Stic", qui se traduit par "système de traitement enregistré des infractions."